Aujourd’hui au Sénégal, personne n’ose dire la vérité à cause de menaces de fanatiques, d’hypocrites, de fausses et malhonnêtes gens de mauvaise foi. Le danger est partout et nous guette car une minorité est entrain de passer par les réseaux sociaux pour terroriser la masse et embarquer la jeunesse dans une posture d’agresseurs prêts à toute violence jusqu’à tuer sans hésiter.
N’allez vous pas croire que ce fait date de longtemps, non il est tout à fait nouveau à cause des réseaux sociaux, il est nouveau depuis l’entrée de SONKO en politique et un certain Guy Marius SAGNA comme activiste. Tous les deux sudistes, aidés par les ennemis du régime en place.
Ils manipulent les jeunes naïfs et leur font croire que rien ne va dans le pays et que c’est la France qui est derrière tout le mal que nous vivons. Lors des récentes manifestations, les lieux saccagés en disent long sur les manipulations.
Si certaines communautés profitent des réseaux sociaux pour aller de l’avant, les sénégalais eux, l’utilisent comme armes de destruction entre eux pour des intérêts personnels. En voilà assez pour montrer le degré d’ignorance de la majeure partie des jeunes dont le niveau d’étude est extrêmement faible empêchant d’avoir un esprit critique pour s’adonner à des analyses profondes avant de juger ou d’agir.
La culture de l’excellence et de la perfection dans les domaines scientifiques et techniques n’intéresse plus notre société. La jeunesse est la fleur de la société et « on connaît par les fleurs l’excellence du fruit.” Mais on dirait qu’au Sénégal, les bonnes fleurs ont fané. On prône la médiocrité, l’indiscipline et l’ignorance en sapant les fondements de l’éducation à la base. Aujourd’hui, seuls les journalistes de bonne foi peuvent sauver le pays car les sénégalais sont arrivés à un degré émotionnel extraordinaire les poussant à user de manipulations pour arriver à leur fin.
L’émotion ne fait pas partie du code de déontologie du journaliste, sinon on va vers la subjectivité : le bon journaliste doit aimer ses interlocuteurs: le peuple et être objectif.
Faut-il avoir peur du peuple ? Non, C’est ce que semblent répondre les journalistes Madiambal DIAGNE et Mamadou Ibra KANE. Ils disent tout haut ce que d’autres mijotent tout bas. Les sénégalais de bonne foi savent exactement de quoi il s’agit. Ils ont évoqué des sujets qui dérangent ceux qui ne veulent pas entendre la vérité mais force est de constater que tout ce qu’ils ont évoqué est factuel et étayé par des preuves irréfutables.
On a beau leur reprocher cette réserve et la prétendre hors de propos dans nos intérêts éparpillés mais à vrai dire, ce qu’ils ont évoqué mérite d’être analysé. Ousmane SONKO, un opposant radical, manipulateur, menteur et faux dévot soutenu par ses parents DIOLAS, utilisant le slogan ethno ciste « SONKO OLÉLÉ » ( SONKO LE NÔTRE), « Macky n’aime pas la Casamance », « déposez les armes et sortez », les phrases de trop de SONKO; voilà ce que Madiambal a évoqué.
Cela n’est il pas un fait grave qui peut mener le Sénégal au chaos ? Quand à Mamadou Ibra KANE, il a, sans le compte indiscret montré qu’il y a un lobbying derrière le groupe composé de repris de justice, d’insulteur et autres minables reçu par le Khalif général des Mourides Sérigne Mountakha MBACKE. Que dire de ceux qui veulent tuer tous les homosexuels ? Ces derniers ne méritent ils pas la clémence de Dieu?
Jugez par ce que nous coûte le silence face à un danger qui nous guette. Personne n’a le droit de se taire dans ce pays. Les voix doivent s’élever pour alerter au mieux l’ensemble des sénégalais afin qu’on évite de tomber dans le danger. Certains ont trop d’emportement pour avoir de la prudence face à l’insécurité dans laquelle se trouve le pays. Nous devons vaincre nos passions au lieu de les déguiser par le fanatisme, le mensonge, la rancune et la méchanceté.
Sachons analyser ce que disent nos journalistes. Pourquoi la moindre alarme met certains en fureur jusqu’à inventer de vils propos pour discréditer la personne. Madiambal et Mamadou Ibra savent bien ce qu’il disent. Sils se taisent à cause de votre zèle, le Sénégal en pâtira. Foutez leur la paix car vous ne pouvez pas assurer ni nous offrir le bonheur et la paix que nous avons dans le plus profond de notre Foi. J’ai dit.
Malick Wade GUEYE, depuis Marseille.