Au Congo-Brazzaville, les caisses sont vides et le gouvernement va négocier un plan d’ajustement structurel avec le Fonds monétaire international (FMI). Des organisations de la société civile ont écrit à sa directrice générale, la Française Christine Lagarde, pour lui demander de lui imposer des conditionnalités lors de ces négociations, en estimant que si le pays est dans une situation malgré la manne pétrolière dont il bénéficie, c’était à cause de la mauvaise gouvernance et de la corruption.